Non mais quel gros enculé ce mec. Lui faire un sermon parce qu'il est arrivé quoi, cinq minutes en retard au boulot. Il a eu envie de lui en coller une mais il s'est retenu, juste parce qu'il a besoin d'un salaire et qu'il saurait pas quoi foutre d'autre. En dehors de la musique, il a aucun don cet abruti. Un pétard, il a une foutue envie de fumer. Hisser sur deux piles électrique, il file jusqu'à l'adresse si connue de son dealer. Trainant la patte, râlant, il est clairement de mauvaise humeur. Gare à ceux qui croiseront sa route. Une fois devant l'escalier, il recule et finit par grimper dans l’ascenseur, merveille de technologie qui répondre parfaitement à une fainéantise inouïe. A peine monté, il la reconnait, cette gamine qu'il a laissé y'a quatre ans. Elle a pas tant changé la morveuse, toujours aussi plate qu'une limande, elle a garder ce visage enfantin. Il pourrait rebrousser chemin mais ça lui accorderait beaucoup trop d'importance. Non, Nicholas, il préfère agir comme si elle n'existait pas. C'est ce qu'il fait avec chacun des membres de cette famille disloquée. En fait, le seul truc qui le lie encore à eux, c'est un putain de nom de famille. Rien de plus.

Il vient se caler dans un coin, appuyé contre la rembarre. Les bras croisés sur la poitrine. Dans son dos, il observe cette silhouette frêle, on pourrait presque la croire fragile si l'on se contente de ce que l'on voit. Puis c'est quoi cette tenue de merde ? On dirait presque une pute ? Elle avait pas envie de mettre un peu plus de tissu ? En temps normal, ça ne le gêne absolument pas que les gonzesses soient à moitié à poil, au contraire. Moins de choses à virer avant la levrette. Sauf que la gamine reste sa frangine. D'un coup, ça s'arrête, y'a cette voix qui retentit pour dire : ASCENSEUR HORS SERVICE. What the fuck ? Il tient pas en place et vient appuyer sur à peu près tous les boutons qu'il trouve en face de lui. NON MAIS SANS DECONNER. C'EST QUOI CE PUTAIN DE BORDEL ! Il s'arrête pas, il tourne dans tous les sens, continue d'appuyer partout, comme si ça allait régler le soucis.

T'avais passé la journée dehors, à faire les magasins avec le peu d'argent que t'avais. Tu ne supportais pas rester enfermé chez toi et encore moi avec ton père. T'avais reçu un putain texto d'un pote à toi qui disait qu'une journée spéciale avait lieu chez lui. Tu fis un grand sourire et hurlas dans la boutique provoquant des regards outrée. Tu fis un grand sourire les insultants dans tes pensées les plus profondes. Tu payas tes vêtements, en ayant volé au passage deux t-shirt et quitta cette boutique de coincées. L'immeuble n'était vraiment pas loin, tes talons claquaient aux rythmes de tes pas sur le bitume, cigarette à la bouche écouteurs dans les oreilles le monde extérieur n'existais plus. Tu te foutais des regards des gens sur ton corps, sans doute se disaient t'ils que tu n'étais pas assez couverte pour une jeune fille de ton âge. Mais tu n'avais qu'une envie leur faire un énorme doigt d'honneur. L'immeuble minable était enfin devant toi, tu poussas la porte d'entrer et soupiras, un long soupir voyant l'homme devant toi. Tu montas sans rien dire dans l'ascenseur. Putain tu priais pour qu'il arrive vite à l'étage demandé.

Tu ne le regardais pas, cet homme te dégoûtait au plus profond de toi-même. Tu sursautas quand l'ascenseur s'arrêta d'un coup. Non, vraiment, il fallait que cela tombe sur toi ? Vraiment ? Coincée avec ton frère enfin avec cet inconnu à tes yeux ? Tu le regardas avec un grand sourire aux lèvres " Nicholas coincé dans un ascenseur avec sa soeur ". Tu attrapas une cigarette dans ton sac, sans lui proposer de lui en filer une et le regardas " Que fais mon connard de frère ici ?". Ouais, tu n'étais pas douce avec lui. Tu t'en foutais de sa vie mais bon autant parler que de rester sans rien dire. Tu tiras sur ta clope toujours ce grand sourire sur tes lèvres, ce sourire tant énervant pour les gens en face

Vie malsaine. Rien dans le crâne, parce qu'il est pas connu pour son cerveau avec son petit air supérieur. N'allez pas non plus croire qu'il est complètement stupide, plutôt stratège et manipulateur, il sait parvenir à ses fins, pas toujours de la meilleure façon. Il creuse sa tombe avec ces conneries mais franchement, il s'en bat les couilles. Des rêves de grandeur, de célébrités, histoire qu'il puisse sauter toutes les poufs du coin. Au lieu de se branler devant le poster de Jessica Alba, il pourra se la faire. L'avantage avec la célébrité, c'est que les gens s'en foutent s'ils sont confrontés à des gros connards. C'est quoi qui te fait sourire là. lâche t-il, visiblement excédé par le sourire satisfait qu'elle affiche. Petite crétine. Lui, il continu son manège mais rien à faire à part prendre son mal en patience. Il tape d'un coup sec contre la porte de l'ascenseur. Il se fait mal le con. Sauf qu'il le montre pas, elle se foutrait de lui, c'est sur. Il secoue sa main pour faire passer la douleur. Il joue les fort, les caïds de bas étage. Qu'est ce que ça peut te foutre ? sec, il se tourne vers elle. Quitte à me payer une pute, je la préférerais avec des gros seins, les planches à pain c'est pas mon truc mais bon, il en faut pour tous les goûts. sourire narquois. tu dois pas prendre très cher en même temps. Quoi, elle est habillée comme une chienne, faut pas qu'elle s'attende à ce qu'il la traite autrement. Cette situation est intolérable. Il va partir en sucette s'il reste trop longtemps cloitré dans la même pièce qu'elle. Déjà, à l'époque, elle arrive à le faire sortir de ses gongs en dix secondes. C'est chiant la famille. Surtout la sienne en fait. on est peut être pas obligé de faire la causette. J'ai rien à t'dire moi. Sauf si le silence s'installe trop longtemps. Ouais. Parce que Nicholas, il supporte pas le vide. vous êtes tous morts et enterrés pour moi de toutes façons, vu les boulets, j'ai dit à tout le monde que ma famille avait crevé dans un incendie. Elle s'allume une clope dans un lieu si confiné, pas sure que ce soit l'idée du siècle mais il fait pas de remarque. Pour une fois dans sa vie, il ferme sa gueule tout simplement. Et ça, c'est pas banal du tout.

Vie de merde, il fallait vraiment que tu te retrouves avec lui ? Vraiment putain c'est un comble. Tu ne l'avais pas vu pendant des années et il fallait que tu tombes sur lui dans un ascenseur en plus bloqué entre deux étages, heureusement, tu n'étais pas claustrophobe. Tu fis un sourire comme toujours, t'aimais sourire pour embêter les gens en face, t'aimais montrer que tu te foutais de tout alors qu'en réalité tu souffrais de cette relation. Tu tiras sur ta cigarette souriant toujours. Au fond de toi tu avais envie de le plaquer contre le mur et de le tabasser, de le faire souffrir, de voir le sang couler. Comment il osait te parler ?. Tu le regardas dans les yeux " Tu es toujours aussi fin. Mais sache que je suis beaucoup trop cher pour toi, par contre le mec chez qui je vais à assez de tunes pour que je le fasse monter au septième ciel, malgré comme tu dis ma petite poitrine et je préfère avoir une petite poitrine et savoir la mettre en valeur que rien entre les jambes" . Tu fis un grand sourire, t'aimais énerver les gens, t'aimais pousser à bout les gens. Tu savais manipuler ton petit monde mieux que personne. Tu tiras sur ta cigarette, lui envoyant la fumé dans la tronche " Tu crois que j'ai envie de parler avec un type comme toi ?" . Tu t'assois sur le sol, posant ton sac pas loin de toi et ta tête contre le mur de l'ascenseur " Je crois que tu es la personne que je hais le plus au monde, tu es un pauvre type". Tu le regardas en arrêtant de sourire. " Si tu veux tout savoir Nicholas, je te hais, et pour moi aussi tu es mort, mort depuis tellement longtemps. D'ailleurs, j'ai seulement un frère et pas deux. Tu es qu'une merde à mes yeux". Tu le regardas bouillit. Tu ne le supportais plus, il fallait vraiment que tu sortes de cet ascenseur, que tu es de l'air et pas de l'air pollué par cet homme

Tu tiras une dernière taff sur ta clope et l'éteignis grâce à tes chaussures. Tu poussas un long soupir et passas tes mains dans tes cheveux. Putain t'étais censée voir Tomeo ce soir, tu le voyais certains soirs ou cela se passait mal avec ton copain. Tu baissas les yeux " Tu crois quoi ? Que pour nous, tu existes encore ? Que nous pleurons ton absence ? Mais mec t'existe plus et tu n'es plus rien pour nous. Un fantôme tu serais mort que cela serait la même chose". t'étais violente dans tes mots, t'étais mauvaise mais tu t'en foutais. Tu le haïssais. Tu te redressas pour aller vers la porte et tapas dessus " PUTAIN Y A PERSONNE"

La finesse c'est clair que c'est pas la qualité première de Nicholas, déjà gamin, il était plutôt du genre à soulever les jupes des filles et casser les constructions de ses petits partenaires de jeu. Imprévisible, instable. Il l'a toujours été. Le maillon faible de la maisonnée Bloomberg. Ce sentiment l'a tenu en haleine tellement d'années qu'il a préféré faite table rase du passé et les oublier. Eux là. Sauf que le revoilà le passé, il était juste tapis dans un coin, à guetter, pour surgir au plus mauvais moment. j'paye pas moi, j'les tronche sans trop de soucis. avoue t-il. Elle lui souffle sa fumée dans la gueule et il buffle lui. Putain, elle respecte rien la gamine. Difficile à croire quand on connait sa personnalité de merde mais il parvient aisément à serrer les filles. Son bagout sans doutes. Son excès de confiance en lui doit surement jouer en sa faveur. Il l'écoute pas vraiment quand elle déblatère sur elle, ses ressentis. Il écoute déjà pas les filles qu'il veut troncher alors pourquoi se prendre la tête avec elle sans déconner. Il fait semblant de bailler et rétorque blablabla. T'as fini c'est bon ? J'ai cru que t'allais jamais t'arrêter. Il passe une main dans ses cheveux -un peu gras, faut l'avouer-. la différence, c'est que tu me hais et que moi je m'en fou. fait il en essayant de paraitre le plus stoïque possible, histoire de pas bafouer sa belle couverture. Parce qu'il en souffre de cette situation. Ca le fait chier qu'aucun d'entre eux n'ai prit la peine de venir le chercher ou juste voir comment il allait. Ca le fait chier de n'avoir jamais au grand jamais eu sa place dans cette famille merdique. Alors oui, il lui en veut même s'il feint une indifférence grandiose pour masquer sa déroute. Soudainement plus calme, il vient se poser dans le fond de l'ascenseur. Il vient de comprendre une chose, c'est que malgré les conneries qu'elle lui lance à la gueule, elle tient à lui, ne serait qu'un peu. Sinon, elle n'aurait pas autant de colère. Et ça putain, ça lui fout une boule dans le ventre. en plus on capte pas dans cette merde. fait il en regardant son téléphone, une idée qu'il aurait eu avant si elle ne s'était pas montré si agressive d'emblée. Quoi, l’hôpital qui se fout de la charité.

Putain tu as envie de le tuer, lui et sa gueule d'ange, lui et ses paroles blessantes. Tu fais rien pourtant, tu ne veux pas lui montrer qu'il te fait souffrir, cela lui donnerait trop de bonheur. Tu soupires en étant devant cette porte qui reste close, devant cette prison que tu ne peux ouvrir. Tu tapas sur la porte avec force te faisant mal à la main, mais t'en peut plus. Ouais tu as envie vraiment de sortir, tu en as marre de lui. Putain, son absence te faisais le plus grand bien. Tu te retournas les mains vers le ciel "Ah bon tu t'en fous vraiment ? Pourquoi les veines de tes yeux tremblent ? Pourquoi je sens que quelque chose ne tourne pas rond ?" . Tu passas ta main dans les cheveux " Tu as beau avoir tiré un trait sur ta famille. Tu restes malheureusement un Bloomberg". Tu sentais le stress monter, oui il fallait que tu sortes. Ton pote devait d'attendre sans comprendre pourquoi tu n'arrivais pas " Putain je rate une super journée, pour la passer avec toi dans un ascenseur merdique." Tu rigolas quand il parla du téléphone. "Oui, nous sommes dans un ascenseur, tu croyais quoi, que les ondes pouvaient passer?". Tu te rassois, ne sachant pas quoi faire dans cette boîte métallique, face à lui. Avec un autre homme tu aurais bien une idée mais là pas possible vraiment t'avais pas de chance.

Tu regardas ton frère, enfin cet inconnu devant toi "Pourquoi t'es là? Pourquoi tu reviens?". Tu parlais plus calmement, plus doucement t'étais fatiguée, trop fatiguée. Mais la colère était toujours présente, la colère était toujours au fond de toi et tu pouvais taper à tout moment. Tu pouvais taper même très fort. Tu attrapas ton sac pour fouiller dedans, tu sortis ton paquet de clope. Putain t'avais envie d'un truc plus fort, il fallait vraiment que tu sortes de cette boîte de conserve

Putain mais elle a raison en plus cette morue, elle le fout en vrac. Il tremblote de rage, ses yeux hurlent de colère et il arrive pas à le cacher. Il est un peu transparent face à celle qui porte le même nom que lui et ça le gave. Qu'elle réussisse à percevoir, à lire. Bloomberg, ce nom qui le poursuit, où qu'il aille, il peut pas nier ses origines. Il peut essayer mais ça finira toujours par lui revenir dans le coin de la gueule. C'est déjà grandiose qu'il ne l'ai pas croisé avant. Enfin si... Il l'a aperçu parmi la foule mais il a fait comme si de rien n'était. Pour ne pas subir ça. Pour ne pas revoir son père lui foutre une décalotté juste parce qu'il a hausser le ton. Pour ne pas se souvenir de leurs visages à tous là. Ces merdeux. Famille foireuse dont il s'est éloigné parce qu'il n'en veut plus. tu parles, j'aurais crevé dans un caniveau, y'en a pas un qui serait venu chialer à mon enterrement, tu l'as dis toi même, cette famille, c'est plus la mienne, c'est juste un mot sur ma carte d'identité. J'suis pas un Bloomberg. J'crois même que j'lai jamais été. Après lui, elle pète un plomb contre la porte. Ils sont pas frères et soeurs pour rien ces deux là, et finalement, ils se ressemblent plus qu'aucun de deux ne veut l'admettre. Saut que là, elle le prend au vif la question, avec une question inattendue. Pendant quelques secondes, elle lui coupe la chique. Il sait pas quoi dire. Y'a la foutue colère qui gronde en lui et son poing qui se serre sans qu'il puisse y faire quoi que ce soit. c'est justement ce que t'as pas l'air de comprendre. Il finit par la fixer, ce regard noisette flamboyant. j'reviendrais pas. Jamais. C'est fini tout ça. Eux. Il en veut plus de cette famille. Elle arrive à le toucher, trop, ça le fout en rogne Nicholas. Il aime pas cette idée d'être dépendant de quoi que ce soit, surtout quand il s'agit de ceux qu'il devrait appeler famille mais qui ne sont rien. c'est trop tard de toutes façons. Les limites ont été dépassés, les mots dit. Il peut pas revenir en arrière et dans le fond, il est pas sure de le vouloir.

Tu le regardes avec moins de haine dans les yeux, avec plus d'amour. Putain maintenant c'est toi que tu hais à ressentir cela. Tu soupir, un long soupir comme tu en fais depuis que tu es coincée ici " Non j'ai jamais dis cela. C'est toi qui as dit que de toute manière pour toi nous étions mort dans un incendie. Je t'ai juste renvoyée la balle. C'est toi le premier qui à considéré cette famille comme morte. alors ouais je t'en veux, ouais j'ai envie de te faire souffrir. Putain tu comprends pas? Tu es vraiment aussi con que cela ?" Tu n'arrives même plus à hurler, ta voix est beaucoup plus calme, comme si tu savais qu'hurler n'allait servir à rien " Tu comprends vraiment rien, tu comprends pas que ta soeur à souffert? Que t'es partis comme un putain de voleur? Que j'attendais au moins un petit mot?" Bah non il était trop con, pour ca , trop con pour comprendre que les gens pouvaient souffrir de son départ . Tu passas ta main dans les cheveux. Tu commençais à manquer d'air. " C'est trop tard de toute façon, t'es tellement con et tellement violent que je veux plus entendre parler de toi, j'ai été trop conne, de t'attendre, trop conne de penser que je comptais pour toi. Mais non tu considère les femmes comme de la merde et encore plus celle de ta propre famille". T'as envie de le gifler, alors ton pied par tout seul et tu lui donnes un coup de pied, pas violent mais assez pour faire mal et putain cela te fais du bien au plus profond de toi même

Une poisse incroyable, ce n'est même pas quantifiable à ce niveau. Le vilain petit canard et la petite préférée, celle qui est toujours passée entre les mailles du filets. La vérité, c'est qu'il la connait pas cette gamine, il est parti trop tôt, trop vite. Lui qui n'a jamais eu le temps de jouer son rôle de grand frère. Le roi des cons fait des excès d'orgueil et ne veut rien admettre, même quand la blonde s'ouvre un peu à lui. Elle confie. Elle donne. Il en veut pas de tout ça, ces sentiments moisies et bancals. Il aurait pas vraiment imaginé que l'on puisse avoir une quelconque attente le concernant... Parce que Nicholas, il ne donne rien pour ne pas devoir justement. Faut croire que le lien fraternel qui les unis aurait imposé un adieu plus glorieux. Mouais. Pour dire quoi d'toutes façons ? Ciao, j'vous deteste tous ? La morale de cette petite histoire, c'est que rien n'est réparable pour eux. Même s'ils en venaient à jouer les hypocrites, faire semblant, ça changerait absolument rien. Le passé est passé, la rancune trop tenace pour parvenir à être effacée. Alors à quoi bon sans déconner ? putain mais on se connait même pas. J'suis pas Alek moi. J'vais pas te bercer d'illusions et te faire croire que je tiens à toi. Non parce que j't'emmerde. J'vous emmerde tous. Il va loin, sa méchanceté ne dépasse pas sa stupidité quand on y pense. Il cherche pas plus que ça à la blesser, il dit juste les choses comme elles lui viennent. Peut être aussi que la blondinette à touché un tant soit peu son coeur plus fragile qu'on le croit. Alors oui peut être qu'il se protège pour ne pas passer pour un gros débile. Les Bloomberg, c'est finit pour lui depuis le jour où il a passé le seuil de cette porte boisée.