pizza party
tu te mords la lèvre, impatient, accoudé au bar de la petite pizzeria de la ville. tu sirotes un verre de coca, attendant que ta commande soit prête. tu échanges quelques sms avec sean, que tu dois rejoindre une fois vos pizza prête. tu rates un bâillement, attendant toujours. tu ranges ton téléphone dans ta poche, relevant la tête quand, finalement, une jeune serveuse pose les deux boites en cartons. tu règles rapidement, lui offrant un sourire charmeur, avant de récupérer les cartons et de sortir de l'établissement. tu passes une main dans tes cheveux, traversant la rue pour te diriger vers un bâtiment. tu montes deux à deux les marches, jusqu'à l'appartement de ton ami. ami ? et plus si affinité. sean ça fait quelque temps que tu l connais. et que tu couches avec lui. tu esquisses un sourire quand il t'ouvre finalement. c'est le sexy livreur de pizzas ! tu pouffes de rire avant de rentrer, te mordant la lèvre. tu te diriges vers le salon assez naturellement, déposant les deux boites sur la petite table basse. tu as l'habitude de te retrouver dans le salon ou dans la chambre - plus précisément le lit - de sean. c'est comme ça. c'et venu un peu naturellement. tu relèves la tête vers sean. tu viens manger ? j'ai la dalleeeee, j'ai attendu pendant presque trente minutes avec l'odeur de bouffe là. insupportable. tu soupires en t'affalant sur le canapé sans aucune grâce.

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meilleure soirée de la semaine en perspective. en fin d'après-midi, sean avait envoyé un sms à elie pour savoir s'il voulait passer la soirée chez lui. à la base, ce n'était qu'une simple invitation pour discuter entre potes autour d'une pizza, mais comme à chaque fois avec le beau brun, cela se terminait autrement qu'avec une pizza. cela faisait quelques temps maintenant qu'ils couchaient ensembles. sean préférait largement avoir des relations nocturnes plutôt qu'une véritable relation sérieuse, qu'il trouvait bien plus contraignante. il était tout de même attaché à elie, mais ce n'était pas des sentiments amoureux. non, c'était une attirance bestiale qui faisait que dés qu'ils passaient une soirée ensemble, ils ne pouvaient s'empêcher de coucher ensemble. sean était tranquillement installé sur son canapé, regardant un match de basket avec distraction. batman, son chien, bondit et fila en direction de la porte d'entrée, les oreilles pointées en avant. puis quelqu'un toqua à la porte. sean se leva à son tour, et alla ouvrir à elie, qui était toujours autant charmant. « oula, tu auras de la concurrence avec ces pizzas ce soir, » plaisanta-t-il en sentant la délicieuse odeur envahir son salon. pas besoin d'indiquer où aller à elie, il connaissait déjà la maison. ce dernier déposa les deux boîtes en carton sur la table basse, et invita sean à le rejoindre. « rien de mieux qu'un match de basket, une pizza et un beau-gosse à ses côtés, » déclara sean avec un regard charmeur, s'installant confortablement dans le canapé, aux côtés d'elie.

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tu débarques chez sean un peu comme si tu débarquais à la maison. t'es comme chez-toi. tu sais que tu seras bien accueilli et que tu peux réellement faire comme tu le souhaites. oula, tu auras de la concurrence avec ces pizzas ce soir. tu arques un sourcil, entrant tout de même dans l'appartement de ton ami, pizzas à la main. tu préfères la pizza à moi ?! j'suis outré là. tu mérites que je reparte. tu pouffes de rire en déposant les boites au salon, sur la table basse. tu prends rapidement tes aises, retirant tes chaussures par la même occasion, t'installant un peu mieux dans le canapé. rien de mieux qu'un match de basket, une pizza et un beau-gosse à ses côtés. tu tournes la tête, un visage tout aussi charmeur que celui de sean sur les lèvres. tu n'hésites pas à jouer de tes charmes, déboutonnant le premier bouton de ta chemise. j'ai pris les deux même. les pizzas. j'savais pas quoi prendre, j'me suis pas fait chier. tu ris doucement, relevant la tête vers le match de basket à la tv. t'aimes pas particulièrement ce sport, mais bon, de temps à autre ça peut passer. tu ouvres le carton de la pizza, croquant à pleine bouche dans une part triangulaire. quoi de neuf ? tu marmonnes, la bouche encore pleine. vu comme ça, on peut avoir l'impression que vous êtes juste deux potes qui aiment parler sport ensemble, mais toi tu sais très bien que vous allez finir nu et dans le lit de sean - ou peut-être pas dans son lit en fait - parce que c'est toujours comme ça. vous êtes irrémédiablement attirés l'un par l'autre. c'est une attraction comme une autre. et vous y résister très rarement. c'est qui, qui gagne ? tu fronces les sourcils en direction de la télévision. parce que t'as pas vraiment suivi, préférant lorgner pas très discrètement sur sean, te mordant la lèvre inférieure.

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sean aimait la simplicité de sa relation avec elie. ils pouvaient très bien ne pas se voir pendant deux semaines, et ils n'allaient pas s'engueuler. ils n'étaient absolument pas possessifs, et c'est que le jeune appréciait avec elie. il ne supportait pas les plans cul qui n'acceptaient pas qu'il couche avec d'autres mecs, ou encore pire, qu'il adresse la parole à quelqu'un d'autre. avec lui, c'était de la détente et du plaisir, what else ? sean s'installa à son tour dans le canapé, et ouvrit sa boîte à pizza, son doux fumet lui faisant gargouiller le ventre. « j'adore la pizza, je l'avoue, mais tu es incomparable c'est vrai, » répondit-il avec un regard en coin qui voulait tout dire. il prit une bouchée de pizza, comblé. « t'inquiète pas, j'ai tellement la dalle que je pourrai bouffer n'importe quelle pizza, » déclara-t-il suite aux déclarations de son camarade. sean s'adossa confortablement contre le dossier du canapé, se sentant particulièrement bien. « pas grand chose, je chill beaucoup avant la rentrée, et toi ? » dit le jeune homme, qui était assez inquiet à l'idée de se lancer dans des études de médecine. il ne savait pas du tout pour combien de temps il s'était lancé, et il espérait qu'il ne serait pas trop largué puisqu'il n'avait pas touché à des cahiers depuis maintenant quatre ans. « hm j'crois que c'est l'équipe de miami, » répondit sean à la question d'elie. il avait totalement décroché le match de basket, et en présence de son charmant camarade, il ne se rappelait même plus qui jouait contre qui. il était plus concentré sur la pizza et sur le fait que elie avait déboutonné le premier bouton de sa chemise. « si t'as chaud, enlèves ta chemise, c'est pas comme si on ne s'était jamais vu à poil, » rigola sean avec un clin d'œil aguicheur en direction d'elie, aimant bien le taquiner.

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j'adore la pizza, je l'avoue, mais tu es incomparable c'est vrai. t'inquiète pas, j'ai tellement la dalle que je pourrai bouffer n'importe quelle pizza. tu lèves les yeux au ciel, t'es presque déçu de sa remarque, mais tu te contentes de son sourire en coin qui annonce bien des choses pour la suite de la soirée. tu te concentres à demi sur le match, essayant de prendre des nouvelles de sean comme toute personne à peu prêt normalement constituée. pas grand chose, je chill beaucoup avant la rentrée, et toi ? hm j'crois que c'est l'équipe de miami. tu hausses vaguement les épaules. tu mords une nouvelle fois dans ta pizza, fixant de nouveau l'écran quelques secondes. pas grand chose non plus. j'ai des nouveaux croquis en tête, mais pas sûr que ça t'intéresses plus que ça. tu réponds simplement. parce qu'au fond, tout est simple avec sean. c'est juste du sexe, parce que c'est bon et parce que vous vous plaisez. tu aimes ce genre de relations sans prises de tête. tu déboutonnes distraitement ta chemise. si t'as chaud, enlèves ta chemise, c'est pas comme si on ne s'était jamais vu à poil. tu pouffes de rire, terminant d'avaler une bouchée de pizza. nah mais si je me fous torse-nu, je serais entièrement nu dans les vingt secondes. je te connais trop bien sean. tu souffles un sourire au coin des lèvres. certes, tu comptes terminer nu ce soir, mais tu le fais chier plus qu'autre chose. puis tu préfères ta pizza, donc bon. tu ajoutes, feignant un air boudeur et vexé, un peu à la manière d'un enfant qu'on aurait contrarié. mais bon. tu ouvres quand même un deuxième bouton qui laisse entrevoir un tatouage parce que t'as envie de le chercher et de voir s'il va craquer ou non. tu te mordilles la lèvre, continuant de manger comme si de rien n'était.

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sean fronça les sourcils suite aux paroles de son camarade. ce dernier venait de déclarer qu'il avait de nouveaux croquis en tête, mais qu'il pensait que cela ne l'intéressait pas. « c'est pas parce qu'on baise ensemble que je ne m'intéresse pas à ta vie, elie, » déclara le jeune homme avec sérieux, assez étonné des déclarations de son camarade. bien qu'il ne le montrait pas forcément, sean était tout de même un minimum attaché à elie, et il fallait qu'il se rende compte qu'il pouvait lui parler en cas de besoin. « parles-moi donc de tes croquis, » dit sean avec sérieux, se tournant d'avantage vers elie. il eu une soudaine envie de l'embrasser, de l'amener dans sa chambre, mais il se retint. une discussion sérieuse avec elie de temps à autre, cela ne leur ferait pas de mal. un sourire amusé se dessina sur les lèvres de sean, rigolant des déclarations d'elie. « j'avoue que j'aurai du mal à résister si t'enlèves cette chemise, » s'exclama sean. comme quoi, elie le connaissait par cœur. ses rires redoublèrent lorsque son camarade fit mine d'être déçu, disant que de toute façon, il préférait les pizzas à lui. elie retira le deuxième bouton de sa chemise, tentant de nargeur sean, qui tentait temps bien que mal de lutter contre les avances de son camarade. puis, prit d'une profonde pulsion, il laissa tomber sa part de pizza au sol, directement gobée par le husky, qui ne perdit pas une seule seconde. le brun s'avança vers elie, posant ses mains derrière sa nuque. il lui lâcha un baiser fougueux, remplit de désir. « je crois que la pizza a perdu ce soir, » murmura d'un souffle sean avec son fidèle sourire qui illuminait son visage. ses yeux pétillaient. ce soir il oublierait son quotidien, et ne penserait qu'à elie. rien qu'à lui.

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c'est pas parce qu'on baise ensemble que je ne m'intéresse pas à ta vie, elie. tu fronces légèrement les sourcils. nah. tu voulais pas dire ça comme ça, tu retiens un soupir et tu te mords légèrement la lèvres. c'pas ce que je voulais dire. mais genre, ça m'étonnerait que causer mode tout une soirée soit une de tes priorité. tu préfères le sport. tu hoches la tête pour toi-même. tu manges tranquillement, observant de temps à autre l'écran, quand le public crie ou siffle certains joueurs. définitivement, t'y comprends rien. parles-moi donc de tes croquis. t'es assez étonné qu'il veuille que tu lui parles de ça. tu réfléchis un instant. c'est des idées encore. mais, j'pensais à une veste. style blazer, mais plus longue. faudrait que j'te montre, mais je les aie pas avec moi. ce qui est étonnant, quand on sait que tu as presque toujours des croquis sur toi. mais pas ce soir, tu savais très bien comment allait terminer la journée, alors t'as tout laissé dans ton studio. quand tu enlèves le premier bouton de ta chemise, c'est plus pour guetter les réactions de sean, parce que t'as pas spécialement chaud ou froid. tu pouffes de rire, et il rit bien facilement avec toi. j'avoue que j'aurai du mal à résister si t'enlèves cette chemise. tu te pinces les lèvres, presque déçu de sa remarque, et tu continues de le chercher, le taquiner. t'aimes bien jouer et encore plus avec sean parce que tu sais qu'il rentre facilement dans ce jeu de séduction. mais ce soir, c'est toi qui tiens les rennes et tu comptes bien voir jusqu'où il va tenir. il craque rapidement, quand tu retires un deuxième bouton de ta chemise. heureusement, que tu n'avais pas de pizza entre les mains, parce que tu sais pas vraiment ce que ça aurait pu donner. les mains de sean glissent dans ta nuque et tu t'empresses de répondre à son baiser enflammé, le tirant un peu plus contre toi, vos corps s'entrechoquant. je crois que la pizza a perdu ce soir. tu ris doucement, laissant tes mains glisser - innocemment - sous son haut. j'suis presque déçu que t'aies craqué aussi vite. j'aurais pas eu le temps de dévoiler ces beaux tatouages. tu pouffes de rire en revenant l'embrasser. la soirée commence - enfin - à être intéressante. en tout cas bien plus que le match de basket qui semble se terminer.

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sean savait que parfois, les gens pouvaient se dire que les plans cul, c'était juste pour s'envoyer en l'air. mais avec elie, c'était différent. certes, dés qu'ils se voyaient ils baisaient, mais ils s'appréciaient mutuellement en temps que pote. et parfois, sean serait content de pouvoir parler de leur vie en générale plutôt que leurs dialogues ne tournent qu'autour de leurs ébats sexuels. c'est ce qu'il essaya de faire comprendre à son camarade, lui disant qu'il s'intéressait à ses croquis, ce qui était vrai. « c'est vrai que je ne suis pas vraiment branché mode, mais si c'est ton truc, ne te bloque pas et parle-moi en, » déclara sean en posant une main affectueuse sur l'épaule d'elie. il esquissa un sourire lorsque son dernier finit par parler de ses fameux croquis. « ouais faudra que tu me montres ça, » répondit-il, curieux de voir le coup de main d'elie avec les crayons. sean essayait de calmer ses pulsions, afin de ne pas entrer dans le jeu de son camarade, qui faisait clairement exprès de déboutonner un à un ses boutons de chemise. mais le sportif craqua rapidement. dés le deuxième, il laissa tomber sa pizza au sol et embrassa fougueusement elie, laissant ses mains caresser sa nuque. elie se laissa faire, allant même jusqu'à mettre ses mains sous le tee-shirt de sean. « c'est dingue, tu sais exactement comment faire craquer, » murmura-t-il à elie, avec un sourire charmeur. il s'installa de nouveau dans le canapé, et lui lança un regard mi-espiègle, mi-provocateur. « maintenant à toi de ne pas craquer, » dit-il avec un léger rire. il retira son tee-shirt, qu'il balança dans le salon, dévoilant son véritable torse d'athlète.

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tu sais bien qu'avec sean, ce n'est pas juste du cul, même si on en a l'impression d'un point de vue extérieur. sean, c'est un bon pote. avec qui tu couches. c'est un peu particulier, mais bon. t'essayes de faire un peu la conversation, et rapidement, tu en viens à évoquer tes croquis. tu sais très bien que sean n'est pas le genre de mec à s'intéresser à la mode - ce qui est loin d'être un reproche, juste une constatation - tu essayes de lui expliquer un peu ce que tu as en tête, mais c'est compliqué. et t'as pas tes dessins sur toi. tu essayeras d'y penser la prochaine fois. si prochaine fois il y a. tu te mords la lèvre, continuant de provoquer sean, délibérément, déboutonnant lentement ta chemise. bouton après bouton. voir quand il craquera. et il craque assez rapidement. ses lèvres se retrouvent contre les tiennes avec fougue. c'est dingue, tu sais exactement comment me faire craquer. tu luis rends sn sourire charmeur, et tu le laisses se réinstaller à côté de toi. t'as déjà envie de recommencer à l'embrasser. maintenant à toi de ne pas craquer. tu pouffes de rire quand il retire son t-shirt. tu l'observes un moment, te mordant délicatement la lèvre. c'est pas du jeu. tu râles presque comme un enfant. toi t'as bien craqué. tu murmures en te redressant un peu, te penchant sur lui, un genou sur le canapé, une main sur sa cuisse. et dans tous les cas t'auras craqué avant moi. tu pouffes de rire, venant mordiller le lobe de son oreille, ta respiration soudainement plus courte.

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sean appréciait ce jeu de séduction constant qu'il y avait entre elie et lui. bien qu'ils avaient déjà couché ensemble de nombreuses fois, l'attirance était toujours autant présente, et de plus en plus intense. étant un grand séducteur, sean ne pouvait qu'apprécier la relation qu'il avait avec son camarade. sans prise de tête, sans aucune embrouille, juste du fun et du plaisir. elie le connaissait par cœur, et il savait parfaitement bien comment le faire craquer en un quart de seconde. sean tentait à chaque fois de se retenir, de lui montrer qu'il était capable de rester tranquille alors qu'à ses côtés, elie le chauffait. mais c'était bien trop dur pour lui. et pourquoi se craquer ? ils étaient là pour passer du bon temps, alors autant ne pas le faire qu'à moitié. fougueusement, sean lui lâcha un baiser remplit d'intensité. puis, il se réinstalla dans le canapé, avec son fidèle regard aguicheur qui en avait fait craquer plus d'un. maintenant, c'était à son tour de faire craquer elie. sean retira complètement son tee-shirt, révélant son torse qu'il prenait soin d'entretenir chaque jour. torse-nu, il savait pertinemment que son camarade craquerait rapidement. elie protesta tout en grimaçant, puis s'avança doucement vers lui, lui murmurant à l'oreille que de toutes façons, il avait craqué avant lui. elie lui morda le lobe d'oreille. sean passa ses mains dans le dos d'elie, rentrant carrément ses mains dans l'arrière de son caleçon. « si on ne s'arrête pas tout de suite, les pizzas vont refroidir et seront dégueulasses, » sourit sean, bien qu'il n'avait aucune envie de se stopper dans leur lancée.

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tu ne sais plus trop depuis combien de temps tu connais sean. mais t'es certain que votre relation est assez forte malgré sa nature et tu sais que tu pourras compter sur lui si un jour, tu en as besoin. en attendant, t'aimes bien jouer ce jeu de la séduction avec lui, attendant de voir quand est ce qu'il craquera. assez rapidement, visiblement, puisque tu récoltes un baiser fougueux en quelques minutes seulement, et t'arrives à l'avoir torse-nu à côté de toi sans rien faire de tes mains. tu laisses un sourire prendre place sur le coin de tes lèvres. tu te rapproches de sean, une main sur sa cuisse et tes lèvres contre son oreille. il ne tarde pas à venir poser et faire glisser ses mains dans ton dos jusqu'à tes fesses, ses doigts venant innocemment trouver leur place sous ton boxer. si on ne s'arrête pas tout de suite, les pizzas vont refroidir et seront dégueulasses. tu lèves les yeux au ciel, tu laisses un petit rire amusé s'échapper de tes lèvres et tu viens embrasser l'angle de sa mâchoire. tu sais que ça se réchauffe de la pizza ? tu murmures doucement, glissant une jambe par-dessus ses cuisses. tu viens t'asseoir sur ses dernières, tes deux mains glissant sur son torse dénudé. je préfère ce que j'ai devant moi, plutôt que la pizza. tu souffles en te penchant, venant écraser tes lèvres contre les siennes. clairement, t'en as plus genre chose à faire de la pizza ou du match de basket.

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sean était amusé en repensant à comment est-ce que cette soirée pizza et basketball venait de tourner. entre eux deux, ça avait toujours été comme ça. c'est pour ça qu'il n'avait jamais eu envie d'aller au cinéma avec elie, parce qu'il était persuadé qu'ils auraient vite dérapé, même si d'autres personnes étaient présentes dans la salle de projection. leurs baisers devenaient de plus en plus fougueux, leurs caresses se faisaient de plus en plus intimes. sean repensa aux pizzas que son camarade était gentiment allé commander, et déclara que s'ils ne s'arrêtaient pas tout de suite, elles refroidiraient très vite. et puis des pizzas réchauffées, ce n'était pas la même chose. mais visiblement, elie semblait ne plus avoir faim. après tout, continuer leurs affaires plaisait tout autant à sean. un sourire amusé se dessina sur ses lèvres lorsque son camarade déclara qu'il préférait largement le corps de sean plutôt que de la pizza. il rigola, et laissa elie s'installer sur ses jambes. il continua à caresser le corps de son camarade de ses mains fortes mais douces. sean se mit debout, portant elie par la taille. il l'amena dans la chambre, trouvant qu'ils seraient bien plus à l'aise ici que sur l'étroit canapé. sean le déposa dans le lit. restant debout, il retira son short avec un regard aguicheur, puis rejoignit elie dans le lit. « oublions les pizzas alors, » murmura sean à son oreille, lui lâchant quelques baisers fougueux dans le cou, puis plus bas, et encore plus bas.

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tu t'es bien vite désintéressé de ta pizza. préférant sean à cette dernière. tu te glisses sur ses cuisses, tes mains sur son torse et tes lèvres contre les siennes. tu soupires doucement de contentement. les mains de ton amant glissent sur ta peau et tu es toujours un peu étonné par la douceur dont il peut faire preuve. quand tu le sens se lever, tu glisses tes mains dans sa nuque et tu colles ton torse contre le sien pour ne pas tomber. tes jambes s'enroulent autour de sa taille et tu pouffes de rire. je sais marcher hein. tu ris doucement, entreprenant d'embrasser son cou pour le distraire, même si t'es pas certain que ça change grand chose. tu te laisses tomber sur le lit et t'installes confortablement entre les coussin. tu laisses ton regard glisser sur le corps de sean sans aucune discrétion alors qu'il retire son short, il te rejoint ensuite sur le lit. oublions les pizzas alors. tu souris et tes mains glissent le long de son dos et dans ses cheveux. tu comptes me déshabiller un jour ? tu pouffes de rire, terminant de défaire les boutons de ta chemise alors que ses lèvres se perdent dans ton cou. tu laisses ta tête retomber contre les coussins. j'crois que je vais te laisser faire aujourd'hui, tu m'as l'air bien parti. tu ajoutes, un sourire presque provocateur sur les lèvres.

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sean porta sans soucis elie jusqu'au lit, comme s'il s'agissait d'un simple sac de course. bien que ce dernier déclara qu'il pouvait marcher, le jeune homme ignora sa remarque, et le mit dans le lit. là, la soirée allait enfin pouvoir commencer. bien qu'ils avaient déjà couché de nombreuses fois ensembles, sean appréciait tout autant les tournures de ses soirées en compagnie d'elie. d'un geste lent, afin de faire bouillonner intérieurement son camarade, sean retira son short, qu'il laissa traîner au sol. il le rejoignit dans le lit, une lueur d'excitation dans le regard. il frissonna lorsqu'elie passa doucement ses mains dans son dos. il lui lâcha un baiser dans le cou, et commença petit à petit à l'embrasser plus bas. « si tu insistes, » répondit-il en observant avec envie son camarade défaire les derniers boutons de sa chemise. il acquiesça d'un signe de la tête lorsqu'elie lui déclara qu'il allait le laisser faire ce soir, étant donné qu'il était bien partit. sean continua ses doux baisers dans son cou. de ses deux mains, il caressait avec tendresse le torse de son camarade. d'un geste lent et provocateur, il retira le pantalon d'elie. sean embrassa avec fougue son caleçon avant de le retirer complètement. le regard provocateur, il s'installa à ses côtés. « à ton tour, » murmura-t-il en indiquant son caleçon d'un coup d'œil furtif.

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tu devrais presque t'offusquer de le sentir te porter comme si tu étais un simple poupon. tu t'accroches à lui et ris doucement, tes lèvres contre sa peau que tu t'amuses à mordiller. tu t'installes dans son lit, tu l'observes se déshabiller et tu grondes presque quand il prend son temps. tu retiens un soupir. t'es toujours habillé et tes fringues sont trop serrées. surtout ton pantalon, parce que merde, sean, il est quasiment à poil devant toi. il tire sur ton pantalon et ses lèvres glissent contre ta peau. tu te cambres doucement en sentant ses dernières contre ton boxer, qui se retrouver tout aussi vite sur le sol que le reste de tes vêtements. tu te retrouves nu face à lui, sans aucune honte. tu te redresses sur tes coudes quand il s'éloigne un peu. à ton tour. tu ris doucement, suivant son regard. tu te mords doucement la lèvre en te redressant. une main sur son torse, tu le pousses à s'allonger complètement, alors que tu te glisses entre ses cuisses. tu crochètes tes doigts au niveau de l'élastique de son boxer que tu tires lentement vers toi, le faisant glisser avec lenteur sur ses cuisses. à mon tour. tu confirmes en gloussant légèrement. tu te penches, posant tes lèvres juste au-dessus de son nombril, mordillant la peau de son ventre. tes mains glissent contre ses cuisses alors que tes lèvres se referment autour de son entrejambe, que tu suçotes lentement.

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sean aimait provoqué. il aimait mettre à bout son partenaire, afin qu'il craque et qu'il finisse par lui sauter dessus. c'est ce qu'il s'assumait à faire avec elie, à chaque fois qu'ils se retrouvaient dans ce lit. le jeune homme fit exprès de retirer lentement ses vêtements, puis de dévêtir son camarade de gestes lents et fluides. il embrassa son caleçon, sentant sa contenance devenir de plus en plus dure et raide. il lui retira son caleçon, se retrouvant face à un bel homme entièrement nu, excité par ses baisers. sean s'installa aux côtés d'elie, tout en lui caressant la verge. il lui dit que maintenant, c'était à son tour. à ses côtés, son camarade se redressa, tout en se mordillant les lèvres avec sensualité. sean le regarda se placer face à lui. elie, d'une main ferme, le fit s'allonger entièrement. la tête posée sur les coussins moelleux, il se donna à son camarade. la tête penchée vers l'arrière, les paupières closes, ses mains posées dans la chevelure d'elie, il jouissait à chacune des caresses de son partenaire, à chaque coups de langue, il frémissait de plaisir. elie lui retira son caleçon, révélant alors l'entre-jambe de sean, fièrement dressée. il savait qu'elie savait comment lui faire plaisir, comment le pousser à jouir. sean se laissa faire, frémissant à tout les faits et gestes de son camarade. les mains toujours posées sur la tête d'elie, il l'encourageait à aller plus vite, plus loin, afin d'atteindre le plaisir ultime. sean ferma les paupières, laissant quelques râles graves sortir de sa gorge, tout en encourageant d'une voix douce son camarade à continuer de la sorte.

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les soirées avec sean se terminent bien souvent de la même manière. lui et toi dans le même lit, nus, et pas en train de jouer aux cartes. tu soupires doucement de contentement en sentant ses lèvres contre ton corps, en le voyant quasiment nu au-dessus de toi. tu te mords la lèvre inférieure, tu le fais basculer sur le lit et tu entreprends dans lui retirer son boxer, seul rempart face à l'objet de tes convoitises pour ce soir. tu te penches, englobant son érection de tes lèvres. et tu t'amuses, joue de lui malgré ses mains posées sur ton crânes, les tiennes glissent sur ses cuisses et son ventre. tu t'amuses quelques minutes, ta langue glissant avec application contre sa peau bien trop sensible. et tu sais. tu quand il est sur le point de jouir. c'est pour ça que tu te redresses, venant essuyer le coin de tes lèvres du bout des doigts. ce serait trop simple. tu ris, un sourire taquin et coquin sur le coin des lèvres, les yeux voilés de plaisir et de désir. tu viens t'allonger contre - sur - lui, tes lèvres à quelques centimètres des siennes. tu viens emprisonner sa lèvre inférieure entre tes dents, tirant à peine dessus. t'as des envies aujourd'hui ? tu souffles finalement. parce qu'il s'agit pas juste de coucher ensemble, mais de se procurer du plaisir l'un à l'autre.

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sean avait la tête posée dans ses oreilles. ses mains étaient posées sur la tête d'elie. ce dernier lui apportait un plaisir immense. à chaque coup de langue, le jeune homme frémissait, jouissait. ce plaisir était indescriptible, et seul elie arrivait à lui donner ce qu'il chérissait tant, ce qui arrivait à l'amener au bonheur ultime. la langue d'elie parcourait avec délicatesse et fougue l'érection de sean. plus le temps passait, et plus sean que ça allait arriver. déjà, oui, mais c'était tellement plaisant. heureusement, son camarade le sentit et s'arrêta. il était balancé entre la déception, car il aurait aimé en avoir plus, et par la joie de pouvoir faire d'autres choses non-catholiques avec elie. ce dernier lui monta dessus, et vint approcher son visage de celui de sean. il pouvait sentir son haleine fraîche, sucrée, sexuelle. « si ça te dit ? » demanda sean. il posa ses deux mains sur les fesses de son camarade. il les caressa lentement, avec douceur. elles s'aventurèrent dans un autre terrain. doucement, il le pénétra de son index. tout en embrassant fougeusement elie, son doigt allait et venait en lui, de plus en plus vite, mais sean faisait bien attention à en pas faire de mal à son camarade, ce qui retirait tout le plaisir de leur partie de jambes en l'air.

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tu ne sais plus depuis combien de temps exactement, tu couches avec sean, quelques mois, mais ça te laisse assez de temps pour savoir comment le faire se plier face au désir et comme le rendre fou, le mener au bord bien trop rapidement. tu te redresses avant de le faire basculer et tu t'allonges sur lui, tes lèvres à quelques centimètres des siennes. tu lui demandes s'il a des envie ou non, et sa réponse ne tarde pas. tu sens ses mains se poser sur tes fesses. si ça te dit ? tu hoches la tête en silence, le laissant attraper le lubrifiant pour en faire couler sur ses doigts. tu frissonnes à cause du gel froids et de cette sensation jamais très agréable quand il glisse un premier doigt en toi. tu gémis contre ses lèvres, répondant à ses baisers, glissant tes mains dans ses cheveux. tu serres doucement ses mèches alors que tu viens poser ton front contre son épaule, ta respiration plus forte et moins calme. un autre. tu gémis doucement, en voulant déjà plus. beaucoup plus qu'il ne t'offre pour le moment.  

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sean sentait que la respiration de son camarade s'accélérait à chaque mouvement de doigt. il s'enfonçait avec aisance, et cela grâce au lubrifiant que le jeune homme avait laissé couler le long de ses doigts. plus simple pour pénétrer, et bien moins douloureux. sean allait et venait en elie, qui posa sa tête contre son épaule. il caressait la chevelure brune de sean. plus il accélérait le rythme de son doigt, et plus il sentait que son partenaire mettait de plus en plus d'intensité dans sa poignée de main. souriant, sean continua, plus rapidement, plus profondément. « sans soucis, » répondit-il d'une voix sensuelle lorsqu'elie lui demanda de mettre un autre doigt. sean s'exécuta, enfonçant doucement son index. plus large, plus douloureux, mais plus de plaisir. il continua à aller et venir, embrassant tendrement son camarade. puis il retira ses doigts, et coucha elie sur le ventre. sean se redressa. il posa son érection entre les fesses d'elie, et la frotta d'abord lentement, puis accéléra le mouvement de son bassin. il se pencha vers son camarade, et lui murmura à l'oreille, d'une voix douce. « allons-y. » il se pencha vers sa table de chevet, prit un préservatif. il l'appliqua sur son entre-jambe, puis se retourna vers elie. il positionna son érection, et le pénétra doucement, guettant le moindre signe de douleur de son camarade.

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tu es rarement passif. tout d'abord, parce que tu couches moins souvent avec des hommes qu'avec des femmes, même si, ces derniers temps, tu dois avouer qu'avec sean, vous vous éclatez bien, tous les deux. mais bon, c'est toujours un peu étrange et dérangeant au début, de sentir le doigt de sean essayer de se frayer un passage dans ton corps. mais rapidement, ça devient un plaisir plus qu'une douleur. ton front appuyé contre son épaule, tu gémis doucement et le pries pour plus. sans soucis. tu gémis un peu plus fort, tes bruits étouffés contre les lèvres de sean. il termine par retirer ses doigts et un bruit de protestation s'échappe de tes lèvres au manque. tu tires un coussin pour caller ton visage contre, alors que tu sens son érection glisser entre tes fesses. ta respiration se bloque dans ta gorge. allons-y. tu hoches la tête, incapable de parler, perdu dans un trop-plein de sensations. tu le sens contre toi, plus glisser lentement en toi. tu te mords la lèvre, gémissant doucement. tu te tends un peu, gesticulant doucement sous sean. attends. tu souffles, tes doigts serrant l'oreiller. juste ... deux secondes. tu murmures doucement, les yeux fermer, dans l'attente que la douleur s'estompe un peu. tu termines par initier un mouvement, poussant doucement tes hanches vers sean, signe que c'est bon. 

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sean savait bien qu'elie n'avait pas l'habitude d'être passif, mais ce soir, il avait envie de lui faire découvrir ces sensations, douloureuses au début, mais qui finiraient par être plaisantes. il commença par lui mettre des doigts, afin de tâter le terrain, c'est le cas de le dire. puis, il coucha elie sur le ventre, et caressa ses fesses de son érection. lentement, il la frottait de haut en bas, la tapotait fermement, puis, une vois recouverte d'un préservatif, la laissa pénétrer elie, doucement. petit à petit, il allait plus loin, puis commença ses mouvements de bassin, fluide et ample. il ne voulait pas accélérer le mouvement pour le moment, préférant s'assurer qu'elie n'avait pas trop mal. la douleur retirait tout plaisir, ce qui était donc inutile. sean entendait son camarade gémir à chacun de ses mouvements, puis, il lui demanda de s'arrêter, le temps de souffler, de prendre une profonde inspiration. sean attendit, comprenant tout à fait elie. puis, lorsque ce dernier se sentit prêt, il lui fit un signe pour lui faire comprendre que c'était bon. le jeune homme reprit ses mouvements en balancier, allant et venant dans elie. il commençait à être plus rapide, plus ferme dans ses coups de rein. il ralentit l'allure, pour ensuite dégager son pénis à l'air libre. il approcha sa bouche de l'oreille d'elie, lui tendait un préservatif. « maintenant, à toi de me faire jouir, » dit-il, mordillant fougueusement le lobe d'oreille d'elie.

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c'est bon. tellement bon. toutes ces sensations qui se bousculent dans ton corps, se plaisir qui serre tes tripes et qui agite ton corps de mille ressentis différents. et les mouvements de sean sont divins. tu enfouis ton visage dans les oreilles, gémissant longuement contre le tissu, l'humidifiant peut-être d'un peu de bave. tu fais pas vraiment gaffe, t'as pas envie que les voisins savent ce que vous êtes en train de faire. tu grognes de frustration quand tu le sens te quitter et tu te retournes presque péniblement. l'observant les yeux brillants. t'aurais pu terminer ce que t'as commencé. tu glousses doucement avant de récupérer le lubrifiant et d'en laisser couler sur tes doigts. tu attires sean contre toi, glissant un doigt en lui avec facilité. ta seconde main agrippe sa hanche et tu la serres doucement entre tes doigts.

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sean allait et venait en elie, de plus en plus vite, avec plus d'intensité, mais tout en gardant une douceur dans chaque mouvements de hanches, afin d'éviter d'émettre la moindre douleur à son partenaire. un sourire amusé se dessina sur les lèvres du jeune homme, et qui se pencha vers elie, et lui murmura à l'oreille que c'était à son tour de le faire jouir. sean était de nature actif, mais parfois, avec elie, il aimait bien se la jouer passif. directement, il remarqua la mine légèrement déçue d'elie, qui aurait aimé en avoir plus, aller jusqu'au bout, jusqu'à l'orgasme suprême. mais sean en avait décidé autrement. pas tout de suite, encore quelques minutes de plaisir. elie laissa du lubrifiant couler le long de ses doigts, puis, doucement, il pénétra sean, qui frémit. la tête dans les oreilles, il s'agrippait aux draps. il sentait que son cœur battait plus vite, avec plus d'intensité. il entrouvrit la bouche, et laissa échapper un murmure inaudible. les paupières closes, il laissait elie aller et venir en lui. lorsque le rythme accéléra, il se cambra, grimaçant quelque peu. « va s'y, plus vite, » dit-il dans un souffle, se sentant prêt à ressentir encore plus d'intensité dans les mouvements de doigt d'elie.

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tu pousses un léger geignement quand tu sens sean s'écarter de toi. merde, tu la sentais monter si rapidement ta jouissance. tu te retournes, ton corps tombant presque mollement sur le matelas. tu récupères le lubrifiant et en fait couler sur tes doigts. tu te redresses un peu pour en glisser un dans le corps brûlant de sean. tu l'observes s'agripper aux draps et tu pousses ton doigt plus loin et plus rapidement en lui. tu l'observes se cambrer et tu gémis faiblement en l'observant. vas-y, plus vite. tu ris doucement, enfonçant rapidement un second doigt, puis un troisième un peu plus tard. tu joues du corps de sean et chercher à lui tirer le gémissement le plus aigu possible. c'est ok ? tu souffles, impatient, attendant sa réponse avant de retirer tes doigts pour dérouler le préservatif sur ton érection. tu te glisses entre ses jambes, te frottant doucement contre ses fesses. tu le provoques un peu, avant de glisser lentement en lui, gémissant à la sensation.